Proposition de la critique de SF

2024_Axt_essai-SciFi

 

L’angoisse théorique et réelle dans la Science-Fiction

 

 

 

 

 

Préface

La terreur dans la Science Fiction du posthumain n’est rien d’autre que la terreur de la société humaine. Cette thèse n’est pas élaboré, mais son élaboration est proposé.

Dans le séminaire « La science fiction à la française du XIXe au XXIe siècle » avec Prof. Dr. Karen Struve, j’ai trouvé d’inspiration merveilleuse. La merveille n’est pas l’imagination des auteurs francophones étudiés, ni la science profonde des lettres vis-à-vis la SF, mais leur antinomie. C’est-à-dire chaque fois que la science fiction devient fantastique, utopique, irréaliste – tout en restant une réjouissance lucide pour le lecteur – elle surpasse la science. Cette dernière, ayant défini toutes ses fautes et défaites des matériaux – au moment où elle les épuise – créant un propre univers à explorer avec plaisir, elle surpasse la fiction.

Il y a tant d’aspects à explorer dans la SF qu’il m’est impossible de les énumérer. Entre autres mais surtout, il y a la notion d’espoir justifié qui y a trouvé son réfuge. Puis l’histoire du genre, probablement indistructible et plus vieux que sa connotation de science. En même temps, la décomposition, le désespoir, la dystopie et la ressemblance même des essais optimistes à la réalité pourri, est flagrante. L’analyse semble déficiente, sinon le déclin de SF serait plus manifeste.

Ici, les théories de la posthumanité et de l’anti-utopie seront abattu parce qu’elles ont tué le cyberpunk.

Ceci fut toujours un genre paradox, vue que le punk dénie le futur, mais qui avait transmis l’espoir dans la dystopie. La « science » de la posthumanité, qui ne sait que définir l’humanité aveuglement comme l’espèce qui « maîtrise la technique »1, doit découvrir un mystère dans l’angoisse de la technologie, un phénomène fictive dans le cyborg et donc devient mythologie. Cependent, le punk présente cette symbiose toujours, ayant utilisé de la biotechnologie en buvant de la bière depuis la nuit des temps. D’ailleurs, déclarant concrètement le travail obsolet, le punk fournit ce qui promèttent les sciences dans les plus nobles des formes. Mais le punk est mort, fut tant dès né, et le cyberpunk devint l’élève d’école primaire avec son portable et Insta.

Le fou M.G. Dantec, représentant du genre, a délivré la déscription de la société délitée ou résolu dans l’escroquerie. Il y reste de l’espace pour l’utopie, pour laquelle il faut se battre comme pour le morceau du pain – ce qui veulent supprimer, dans la théorie ou en réalité, les apologistes de l’anti-utopie.

Je n’arrive pas à une conclusion. Voyez cet essai comme produit de la folie autiste : au moment où une source s’ouvre pour exploration, elle livre sa relation à la prochaine. L’idée, en route de sa conception à la claviature, s’épanoui. L’essai ne suffit pas pendant que sa capacité n’est point remplie. Il brouille ses objets et il brouillonne le projet de critique. Excusez l’envoi tardé, s’il vous plaît.

Polémique initiale

« Fictions du posthumain – temporalité, hybridité, écriture » de Claire Le Gall est fastidieuse et éxaspérante. Comme Sisyphe, près du sommet « dans une existance marquée par l’absence de lutte possible »2, elle est forcée de recommencer à zéro, à « la question du devenir de l’humain, c’est-à-dire de ce qui peut venir après lui et de ce qu’il peut devenir. »3 Elle rélève la pierre vers le sommet jusqu’à la conclusion : « la dimension critique et politique, inhérente à ce rejet d’un méta-récit, s’avère par ailleurs indissociable de la revendication d’une subjectivité ‘nomade’, décentrée et multiple. »4 Voilà l’homme de nouveau. Sachant que « la lutte elle-même vers les sommets suffit à remplir un cœur d’homme. »5 Il faut imaginer Le Gall heureuse.

Matthias Hausmann, lui aussi heureux, veut réfuter définitivement l’interprétation : «Einschätzung der beiden Texte[ de Robida et de Verne] als positive Utopien»6. Comment? En citant Robida sans phrase:

«Regardez-moi ce président ! Jamais il n’intriguera, lui ; jamais ce premier magistrat ne deviendra un danger pour le pays! … Il est en bois, sévère, rigide, immuable! Il règnera, mais il ne gouvernera pas ; […] avec ce président en bois, la République, c’est la stabilité!»7

Qu’est-ce qui preuve la négativité ? Est-ce que la république soit stabile ou que le président ne gouverne pas, qu’il soit en bois ou qu’il soit rigide – ou qu’il ne devienne un danger pour le pays? On ne l’apprend jamais, mais on le devine: Hausmann n’aime pas le bois comme substance du président d’ailleurs ni l’argent: l’«empereur des temps modernes»8. Au moins, Hausmann montre que Robida décrit l’impossibilité de l’utopie en tant que lieu, parce que finalement «l’île flottante» devient « der modernen Welt einverleibt »9. Voilà tout, Οὐ-τόπος n’est en aucun lieu, Eurêka! Une telle brillance permet au docteur des lettres de certifier une forme réussie à l’Anti-Utopie française, et à la fois de dénoncer «chantre du progrès» Victor Hugo.10

Roger Bozetto approche «La Science Fiction»11 plus à jeun. Ceci servira bien pour orientation générale dans le genre en tant qu’il serait «domaine de l’imaginaire occidentale moderne». Il y donne un glossaire pertinant et promettant, où il semble d’hésiter à appliquer sa propre conséquence. À côté de la «Technoculture[, qui] s’intéresse de nouveau aux rapports entre la culture et les nouveaux moyens techniques»12, se trouve le «Robot : mot d’origine tchèque connotant le travail.» Bozetto embarqua sur le chemin «Vers une approche esthétique de la Science-Fiction» trente ans plus tôt dans ‘Caliban, n° 22’. Là, il constate qu’on «ne peut plus en rester à une analyse du contenu, qu’il faut bien prendre en compte où elles désirent se situer[:] la dimension esthétique.»13 I demande de cette mode des années 1980 de donner «une sorte d’espoir dont la SF avait bien besoin.»14 Et il l’avait découvert dans «la fascination qu’exerce la page blache, lieu ouvert où pourront s’inscire tous les possibles.»(ibid.)

Il montre la notion barbare qui fut décrit en 1933 dans ‘l’expérience et la pauvreté’ par Walter Benjamin: «Barbarie ? Oui, on le dit pour inventer une nouvelle idée [Begriff] positive de la barbarie. Car où la pauvreté de l’expérience conduit-elle le barbare ? Elle l’amène à tout recommencer, à repartir de zéro»15. Il est évident que les ‘barbaries boches’ ne sont pas bien reçu en France. Mais Bozetto accomplit plutôt en dix pages au sujet de la SF ce que les ‘écoles de la Théorie Critique’ ont manqué presqu’à l’unisson: «Il faudrait créer des perspectives dans lesquelles le monde similaire se décale[ähnlich sich versetzt], se transforme, révèle ses fissures et ses abîmes, tel qu’il se présentera un jour, indigent et défiguré, dans la lumière messianique.»16

Quand même les théories de langue allemande m’ont donné des moyens de critique, parmi eux l’impérative catégorique. Aucune francophone en aura besoin tant qu’elle se sert de sa grammaire distinguante la détermination subjonctive de ordre conditionnel ou impérativ.

Il y a une autre approche : « Vers une esthétique négative »17 par Marc Jiminez de laquelle j’ai pris l’inspiration pour la présentation au sujet du Cyberpunk.

Le cadre

Il faut que j’énumère brièvement les moyens que j’envisage, où au moins des noms. La difficulté ici, c’est qu’aucun d’entre eux a décrit la Science Fiction explicite.

Karl Marx par example, célèbre Critique de l’Économie Politique, a-t-il écrit de la SF ? Un chapitre entier Du Capital est appelé la «lutte entre travailleur et machine»18. Dans ce chapitre, l’auteur traite les animosités, les angoisses et les impuissances des hommes et le règne des machines, qui se présentent sous la forme du Terminator et autres dans la SF, mais aussi dans chaque débat du ‘futur du travail’, actuellement du IA. Ce chapitre n’est pas fantastique du coup d’œil, l’auteur réclame un regard à jeun : les machines n’ont pas de pouvoir puisque c’est la condition humaine. Mais pour réellement cesser d’avoir pouvoir, les machines devraient être utilisé outre capital, c’est-à-dire en dehors de la réalité. Donc en cette réalité-ci, elles ont du pouvoir, un pouvoir même surhumaine.

Ce n’est pas la fantasie ou la fiction qui donne vie au genre robot meurtrier, mais cette réalité-ci. Elle s’est reproduite par les sciences comme par les regards ordinaires. On peut dire que cette reproduction constitut la messe obscure de l’économie nationale, donnant l’impression d’absence de la condition humaine, en faveur de la vie éternelle de la machine.

Un « fétichisme » y est inhérent, qu’il faudrait develloper à travers le genre SF, car pour les sciences économiques, politiques er religieuses en gros, ce travail est déjà finit.

La machine, c’est :

«une chose ordinaire et qui tombe sous les sens. Mais dès qu’elle se présente comme marchandise, c’est une tout autre, affaire. A la fois saisissable et insaisissable, il ne lui suffit pas de poser ses pieds sur le sol ; elle se dresse, pour ainsi dire, sur sa tête de bois en face des autres marchandises et se livre à des caprices plus bizarres que si elle se mettait à danser.»( Section 1Le Caractère Fétiche…)19

Cette machine elle-même, qui vaut, qui est valeur, qui a du valeur, qui se présente comme valeur et qui est apperçu comme valeur :

« se présente ici comme une substance automatique, douée d’une vie propre, qui, tout en échangeant ses formes sans cesse, change aussi de grandeur, et, spontanément, en tant que valeur mère, produit une pousse nouvelle, une plus -value, et finalement s’accroît par sa propre vertu. En un mot, la valeur semble avoir acquis la propriété occulte d’enfanter de la valeur parce qu’elle est valeur, de faire des petits, ou du moins de pondre des œufs d’or. » ( Section 2 – La formule générale du capital)20

Puis, ce capital :

« Le capital est du travail mort, qui, semblable au vampire, ne s’anime qu’en suçant le travail vivant, et sa vie est d’autant plus allègre qu’il en pompe davantage. » (Section 3 – la journée de travail )21

À propos, qu’est-ce qu’un jour de travail ?

« Cette question est infiniment plus importante que la célèbre question de Sir Robert Peel à la Chambre de commerce de Birmingham : « Qu’est-ce qu’une livre sterling ? »[Was ist ein Pfund?] question qui ne pouvait être posée, que parce que Robert Peel n’en savait pas plus sur la nature de la monnaie que les « little shilling men » auxquels il s’adressait. »(ibid.)

Il est facile de montrer où et pourquoi la SF, l’anti-utopie d’Hausmann et « les travailleurs » combattent les machines, la décadence, déclin et l’argent. La lutte contre une « substance automatique », ça serait de la science fiction. Il est ainsi plus facile de se plaindre de l’idiotie (ou grâve) de l’Homme, au lieu de présenter aux Lumières l’espèce de vampire. Mais je crois, après la mort du communisme, fin d’histoire etc. devoir tuer le marxisme avant tout. Karl Marx a donné les moyens, et même les mots exactes pour décrire – c’est-à-dire pour critiquer l’économie politique, l’occultisme moderne. Mais au contraire, l’histoire du marxisme à ce jour reproduit des théories économiques qui sont, de longue, intégré dans le discours des classes supérieures.22

Je propose que la compréhension Du Capital dépend du choix si on rejouit de la Critique ou si on aime souffrir. La souffrance serait le tourment éternel qu’est l’étude d’un objet propremoent irrationnel. La ‘critique dialectique’, le matérialisme historique ou dialectique, la science du valeur, ce sont des chimères. Mais j’ai envie de rechercher «Quelles que soient donc les imperfections littéraires de cette édition française, elle possède une valeur scientifique indépendante de l’original et doit être consultée même par les lecteurs familiers avec la langue allemande.»23

D’autres

«La philosophie, qui semblait autrefois obsolète, se perpétue parce que le moment de s’en rendre compte[sie zu realisieren] a été manqué.»24 ecrivit Adorno dans la Dialectique Négative. Ceci m’inspirerait de composer une Critique de la Science Fiction qui pourrait commence ça:

«Les Hommes dans la Science Fiction apparaissent comme «une accumulation monstrueuse d’idées de la post-humanité». L’analyse de l’idée, forme élémentaire de cette post-humanité, sera par conséquent le point de départ de nos recherches.»

En ce qui concerne les théories de Le Gall et Hausmann, elles y apparaîtraient. Les recherches de la litérature SF, primaire, secondaire et multimédiale, suffisent à remplir un cœur d’homme, aussi. Le problème de ce démarche serait d’abord la question si l’idée de l’homme – ou du posthumain – pourrait déduire le paradoxe de l’utopie.

Les études de l’idéologie(idéalisme) de Hegel et De Tracy sont intéressantes par le fait même qu’elles dérivent les «grands méta-récits» qui sont refusé par Le Gall25. L’un par l’idée absolue, l’autre par l’idée de liberté inhérente dans la nature de l’Homme.

L’un donna la vie à «l’Idéologie allemande». Au lieu d’y chercher les causes ou les justifications pour l’horreur qui est l’existence continue de l’état allemand, je déduirais la possibilité de création d’un univers – la SF. Il dit : « le système est le principe de la philosophie véritable, de contenir tous les principes en soi »26. La SF crée ces systèmes.

L’autre mit à la terre toute la philosophie cartésienne et kantienne. Peut-être qu’il permettrait aussi à l’utopie de prendreespace’ en guise de temps, ou de penser de l’enrichissement informatique ou technologique comme enrichissement humain.

Il y a des notions théologiques, eschatologiques, messianiques dans la Théorie Critique. On l’a vue chez Adorno. Voici l’iconoclasme de façon W. Benjamin dans ‘Madame Ariane zweiter Hof links’:

«Les signes, les pressentiments, les signaux traversent notre organisme jour et nuit comme des ondes. Les interpréter ou les utiliser, telle est la question. Mais les deux sont incompatibles. La lâcheté et la paresse conseillent l’un, la sobriété et la liberté en l’autre. Car au moment où une telle prophétie ou tel avertissement devient un moyen, une parole ou une image, sa meilleure force est déjà morte – cette force nous frappe dans notre centre et nous oblige à agir selon elle, bien qu’on ne s’en rende pas compte27

Ceci ne prohibe pas l’imagination, au contraire il nous rappelle plutôt de l’ascèse nécessaire – que l’espoir sois le moment et sa déscription déçoit : ne les craignons pas.

‘La société du spectacle’, bien sur. Thèse 196:

«Dans la pensée spécialisée du système spectaculaire, s’opère une nouvelle division des tâches, à mesure que le perfectionnement même de ce système pose de nouveaux problèmes : d’un côté la critique spectaculaire du spectacle est entreprise par la sociologie moderne qui étudie la séparation à l’aide des seuls instruments conceptuels et matériels de la séparation ; de l’autre côté l’apologie du spectacle se constitue en pensée de la non-pensée, en oubli attitré de la pratique historique, dans les diverses disciplines où s’enracine le structuralisme. Pourtant, le faux désespoir de la critique non dialectique et le faux optimisme de la pure publicité du système sont identiques en tant que pensée soumise.» De suite, thèse 199 : «La vérité de cette société n’est rien d’autre que la négation de cette société.»28

Extrapolation dépuisement sécondaire

Est-ce qu’on peut mettre le moyen d’espoir de la science fiction en évidence dans le fait de son état de sa désespérance? La question continue à intriguer. L’épuisement est sécondaire, physiquement le mien.

J’éspère qu’il y ait des cours enseignants des méthodes actuelles d’analyse du film et du texte, et d’autres ressources. Les semestres prochains ne deviennent pas décontractrés, mais après la réprise des études, et l’expérience à l’heure qu’il est maintenant, je laisse l’avenir en paix.

Il est dommage que l’analyse du cyberpunk, de la société dystopique et de l’espoir conçu par Maurice Dantec n’aient pas succéde la polémique initiale de cet essai. De même, les notes de lecture d’au moins quelques textes catégorisés ‘littérature primaire’ du séminaire La science fiction à la française du XIXe au XXIe siècle, l’auraient souligné la vie éternelle du pouvoir des machines, vulgo d’argent. Ces efforts suivront.

Cette proposition m’a passionné. Sa conséquence sera dur. Le chemin éclaire la perspective. Veuillez considerez, Lecteur, Lectrice, ceci un essai.

1Le Gall, C. (2019) Fictions du posthumain : temporalité, hybridité, écriture(s). Brest, 2019. ￿p. 36

2Ibid. p. 416

3Ibid. p. 27

4Ibid. p. 418

5Camus, A. (1942) Le mythe de Sisyphe. p. 112 http://www.anthropomada.com/bibliotheque/CAMUS-Le-mythe-de-sisyphe.pdf ( accédé 2024-03-31 )

6Hausmann, M. (2009) Die Ausbildung der Anti-Utopie im Frankreich des 19. Jahrhunderts. Universitätsverlag Winter, p. 417

7Ibid. p. 479

8Ibid.

9Ibid. p. 482

10Ibid. p. 509

11Bozetto, R. (2007) La Science-Fiction. Armand Colin, 2007.

12Ibid. p. 126

13Bozetto, R. (1985) Vers une approche esthétique de la Science-Fiction. In: Caliban, n°22, 1985. L’esthétique de la science fiction. p. 57-65; voir p. 59

14Ibid. p. 65

15Benjamin, W. (1933) Erfahrung und Armut. Sprache und Geschichte. Reclam 1992, S. 136

16Adorno, T.W. (1945) Minima Moralia, N° 153. Suhrkamp 1994, S. 334

17Jimenez, M. (1983) Vers une esthétique négative. Editions Le Sycomore

18Marx, Karl (1867) Le Capital, Chapitre XV: Machinisme et grande industrie https://www.marxists.org/francais/marx/works/1867/Capital-I/kmcapI-15-5.htm ( accédé: 2024-03-31)

19Marx, Karl (1867) Le Capital, Chapitre I: La marchandise https://www.marxists.org/francais/marx/works/1867/Capital-I/kmcapI-I-4.htm ( accédé: 2024-03-31)

20Marx, Karl (1867) Le Capital, Chapitre IV: Tranformation de l’argent en capital https://www.marxists.org/francais/marx/works/1867/Capital-I/kmcapI-4.htm ( accédé: 2024-03-31)

21Marx, Karl (1867) Le Capital, Chapitre X: La journée de travail https://www.marxists.org/francais/marx/works/1867/Capital-I/kmcapI-10.htm ( accédé: 2024-03-31)

22Je viens de finir un essai sur la notion d’espoir dans la proposition initiale Du Capital, chapitre premier, suite à laquelle on aura choisi : veut-on continuer à vivre dans un tel état impossible? https://blogs.uni-bremen.de/shouky/2024/04/01/holloway/

23Marx, K. (1873) Avis au Lecteur, Postface https://www.marxists.org/francais/marx/works/1867/Capital-I/kmcapI-post.htm ( accédé: 2024-03-31)

24Adorno, T.W. (1966) Negative Dialektik, Einleitung. Suhrkamp, S. 13

25Cf. note 4

26Hegel, G.W.F. Enzyklopädie der philosophischen Wissenschaften, §14

28Debord, G. (1967) La société du spectacle, pp. 48 http://parolesdesjours.free.fr/spectacle.pdf


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